L’apothéose de Jonny Greenwood
Ce soir au Barbican Center à Londres, Pendecki dirigera lui-même ses oeuvres et celle qu’il a inspirée à Jonny Greenwood: 48 Responses to Polymorphia. Vous pouvez écouter ces oeuvres en streaming ici: http://www.npr.org/2012/03/04/147668709/first-listen-krzysztof-penderecki-and-jonny-greenwood Et vous pouvez lire ici une interview dans laquelle Jonny semble dire qu’il peut maintenant tout se
Fin du 1er round, exercice intensif de l’index
Ces 10 premiers concerts ont tenu leurs promesses : énergie, show visuel renouvelé et surtout 3 nouvelles chansons (Identikit jouée à tous les concerts, Cut a Hole à l’essai et Skirting on the surface en full band) et des reprises qui ont tenu en haleine les fans jusqu’au dernier soir avec
Live @ Glendale
FAQ : Où, quand et comment acheter des places de concert
NOTES : attention, cet article est une archive de 2012. Toutefois, la plupart des conseils reste valable ! Vous êtes nombreux à nous écrire concernent l’achat de tickets de concert pour les prochaines dates du groupe. Quelques rappels semblent donc les bienvenus. Si vous avez d’autres questions, n’hésitez pas
Live@Broomfield
3 Concerts en France : Paris & Strasbourg
Voilà , les deux dates pour Bercy viennent d’être officiellement annoncées : radiohead passera au Palais Omnisport de Bercy les 11 et 12 octobre 2012… « and One more thing… © Steve » à Strasbourg le 16 octobre. Prévente le 19 mars, à partir de 9h sur www.radiohead.com, le 20 dans les réseaux habituels. (et
Colin prête sa basse à One Little Plane
One Little Plane est le nom de scène de Kathryn Bint, une Austalienne relocalisée au Pays de Galles et dont Kieren Hebden, alias Four Tet, avait déjà produit le 1er album, chaudement recommandé par Colin Greenwood: http://radiohead.com/deadairspace/080627/One-Little-Plane—-quotUntilquot Sur cet album de 2008, il y avait déjà une chanson intitulée “Lotus
Live@Kansas City
Jonny Greenwood, “guitariste furtif”
Alors que le démon du DJing a repris Thom (et Nigel Godrich) à Austin mercredi soir dans un club local, the Parish, le New York Times consacre un long article à Jonny Greenwood qui raconte dans le détail l’enregistrement de « 48 Responses to Polymorphia ». On y lit le récit de