La musique que Ed chante sous la douche
C’est le moindre de nos soucis mais c’est l’essentiel qu’on peut tirer du petit jeu auquel il s’est soumis pour Mojo Magazine (et toujours cette stratégie unique : on ne parle pas de TKOL) :
Mojo : Quelle musique vous branche actuellement ?
Ed : Un Dj qui s’appelle DJ Harvey. Colin me l’a fait connaître. C’est un peu garage, un peu house, ce qui me plaît moins. Il fait d’une plage de Can un truc remixé avec du 808 State, ou quelque chose comme ça. J’aime vraiment aussi l’album de Tame Impala, grand groupe psychédélique australien !
Mojo : Quel est votre album préféré de tous les temps ?
Ed : What’s Going on de Marvin Gaye. On n’a rien fait de mieux depuis.
Mojo : Quel est le premier disque que vous ayez acheté ? Et où l’avez-vous acheté ?
Ed : Mon père m’a donné Sgt.Pepper. Il m’a dit : « écoute ça petit, ça c’est de la musique. » Je l’avais en cassette, c’était vers 1975. Le premier disque acheté avec mon propre argent ça devait être en 1978, Out of the Blue de ELO. C’était l’époque de Rencontres du Troisème type. J’étais hypnotisé par la pochette avec le vaisseau spatial. Je l’ai acheté au kiosque chez Martin, à Summertown, Oxford.
Mojo : Quel musicien, autre que vous, auriez-vous aimé être ?
Ed : John McLaughlin. C’est le plus pur des guitaristes. Je peux seulement rêvé d’être à ce niveau de jeu et d’accord avec sa propre âme. Il est humble et tout ça sort de lui naturellement.
Mojo : Qu’est-ce que vous chantez sous votre douche ?
Ed : Sûrement l’une des chansons de mes enfants, ils ont 7 et 5 ans. Ils reviennent toujours de l’école avec des chansons…
Mojo : Quel est votre disque du samedi soir favori ?
Ed : Je suis allé voir le concert des Primal Scream rejouant Screamadelica à l’Olympia. 20 ans plus tard, c’est brillant. Donc, ça.
Mojo : Et votre disque du dimanche matin ?
Ed : Peut-être quelque chose de légèrement mélancolique, peut-être un peu de Nina Simone. C’est bon tard dans la nuit, mais tard dans la nuit ça peutêtre dimanche matin aussi bien.
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